Les vestiges amérindiens
Les vestiges amérindiens et Joséphine à la Pagerie : dans un même élan fondamental ! « Sauver la Pagerie en 1944 au milieu de l’indifférence quasi générale de l’oubli, c’est alors faire partie d’une toute petite élite qui lutte depuis plus d’une décennie pour faire admettre que l’histoire de la Martinique est aussi inscrite dans les vieilles pierres qu’il faut apprendre à lire, comme ces débris de poteries amérindiennes qui commencent à attirer l’attention des initiés ».
Léo ELISABETH discours prononcé à la Société d’Histoire de la Martinique le 30 mars 1995